Le cancer de la prostate occupe le 5e rang de mortalité par cancer avec 8950 décès par an (données FRANCIM).
Pour les cancers à un stade localisé, les traitements radicaux classiques de toute la glande (chirurgie, radiothérapie) s’accompagnent de séquelles importantes qui altèrent la qualité de vie des patients et il existe un besoin de développer des traitements moins morbides.
A ce titre, la thérapie focale qui consiste à ne traiter que la zone cancéreuse de la glande de manière ciblée apparaît comme une alternative prometteuse et permettrait de minimiser les séquelles urinaires et sexuelles.
Cependant, la stratégie diagnostique classique qui repose sur la réalisation de "biopsies systématisées" par voie transrectale avec guidage échographique constitue un frein car s’accompagne de beaucoup d’imprécisions diagnostiques.
En effet, la planification et la réalisation d’une thérapie focale nécessitent une localisation précise et fiable de la cible tumorale au sein de la glande.
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